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Une île qui vous surplombe depuis les cieux, où dragons, Hommes, bêtes fantastiques et technologies se côtoient, c'est cette île qui vous attend, cavalier.
Messages : 230 Date d'inscription : 19/12/2016 Age : 24
Feuille de personnage Points de vie: Inventaire: Dé rouge de collection (1)
Sujet: Réguélia Lisette Dim 29 Jan - 22:58
Cavalier NOM : REGUELIA Prénom : Lisette, elle se présente Liz, elle préfère Liz Âge : 17 ans
Pouvoir : Liz adore coudre. Elle adore coudre des peluches, notamment des animaux en peluche de diverses tailles. Le rapport ? A force de créer des peluches, Lisette y a déversé de la magie donnant vie aux peluches. Elles ne peuvent ni parler, ni émettre le moindre son, mais elles peuvent cependant servir d'homme à tout faire. En effet, elles possèdent des capacités physiques importantes, et peuvent faire les actions de majordomes, et autres domestiques. Si une peluche est parfaitement inoffensive, une multitude peut être très dangereuse voire même fatale en assaillant leur victime. Ainsi, chaque peluche que Lisette coud devient vivante, et autant dire que Lisette coud tout le temps.
Arme de prédilection : Des ciseaux de couture dorées, horriblement tranchant, relativement dangereux. Ainsi que tout un matériel de couture.
Caractère : Dire que Liz est folle n'est pas un euphémisme, ni même une boutade. Liz est folle c'est une affirmation. Partagée entre délires, grande schizophrénie, douleurs infligées à elle-même, complaisance extrême dans sa situation, paranoïa... Cette jeune fille est détraquée, dans tous les sens. Ses émotions partent en vrille, et il lui arrive de passer de la joie à la tristesse sans aucune raison apparente. Seulement, Liz est dangereuse : la plupart du temps toutes ses émotions sont remplacées d'un seul coup par une grande et violente fureur, parfois ce n'est qu'un aboiement, parfois c'est une morsure fatale.
Un grand désir de vengeance l'habite, en proie à ses délires elle ne sait parfois plus quoi faire quand on lui dit dans sa tête de se venger de ceux qu'elle aime. Mais au final elle obéit toujours, elle se plie aux voix qu'elle entend. Pourtant il n'est pas possible de dire que dans le fond elle est une gentille fille, qu'elle est simplement malade et que ça la mange. Non, loin de là, personne, aucun scientifiques, psychologues et autres thérapeutes en tout genre n'ont pu trouver une once de bon dans Liz. Mais là encore leur verdict est mitigé : certains pensent que au contraire, si elle surmontait toute sa folie ils verraient s'épanouir une jeune et jolie enfant, d'autres affirme qu'elle est mauvaise dans le fond, et qu'elle l'a toujours été. Ils vont jusqu'à dire que c'est sa complaisance à être mauvaise qui l'a rendu folle. Liz n'a jamais pu évoquer un avis là-dessus, elle n'a d'ailleurs pas souvent pu évoquer un avis sur quelque chose. En effet, peu incline à parler, elle n'aligne jamais plus de cinq à six mots à la suite. Par elle-même. Puisque les personnes encapuchonnés qui l'ont recueillis ont rapidement aperçu sa capacité de mémoire : Liz est capable de réciter mot pour mot n'importe quel discours qu'elle a pu entendre. Ils en ont donc déduit qu'elle pouvait posséder une mémoire eidétique (ou absolue)
Aussi, Liz est endoctrinée, dans une secte, elle est utilisée pour répandre la parole du gourou à ceux qui lui ressemblent, parfois ils lui préparent un discours, qu'elle récite mot pour mot ; même si elle n'est de base pas manipulatrice, elle endoctrine bien ceux qui ont des problèmes comme elle, après tout , pour eux elle est comme l'espoir qu'il y a une place pour eux. Pourtant, Liz, ou plutôt les voix dans la tête de Liz, restent toujours sur leurs gardes par rapport à cette secte, ils la mettent en garde alors qu'elle, en tant que jeune, à une totale confiance envers ce gourou. Elle se fait, par conséquent, encore plus de mal en voulant ordonner aux voix d'arrêter de jacter dans sa tête.
Ainsi la jeune enfant est détruite, incapable de ramasser les morceaux, elle a depuis longtemps laissé la folie l'embarquer. Si parfois elle se fait du mal (scarifications, elle s’arrache les cheveux par touffe, etc...) elle s'en prend aussi grandement à ce qui l'entoure (destruction de matériel, hurlements envers l'entourage, etc...), Liz se montre totalement impassible face à ses sautes d'humeur. Elle vit recluse, loin des autres, et avec pour considération uniquement la secte, elle hait les dragons et les autres Hommes, sa paranoïa l'oblige à tout vérifier, elle se sent espionnée, ne supporte pas d'être enfermée mais ne supporte pas que la porte soit ouverte non plus. Il lui arrive de marmonner toute seule des choses peu compréhensible ou bien de rester, l'air hagard, fixer un point avant de se mettre soit à parler, soit à hurler de rage contre le vide de ce point. On l'entend souvent rire d'un rire étrange, peu naturel, ce même rire à vous glacer le sang.
Au final Liz est détraquée tout simplement, elle ne vivra certainement jamais longtemps, mais tout de même assez pour avoir la possibilité de devenir encore plus instable et intenable qu'à l'heure actuelle.
Physique : Liz est une adolescente pas bien grande, environ 1m64 et est relativement maigre, ses longs cheveux blonds, plutôt lisse, lui arrivent au niveau du bas du dos, seulement elle s'en occupe très peu, ils sont donc bien souvent emmêlés, gras, sales et mal peignés. Ses yeux sont d'un étrange violet. Elle arbore toujours un sourire sinistre et son regard reflète sans cesse la folie dont elle fait preuve. Vêtu de manière plus ou moins incongrue, elle peut étonner certains par sa robe unique blanche, qui emprise son cou d'un tissu plus sombre, une ceinture épaisse orne son ventre, faisant gonfler sa poitrine, cet aspect lui donne un léger air de camisole. À son cou, sur la partie noire de sa robe, est accrochée une améthyste. Étrangement, ses chaussures sont toujours bien cirées, sa robe toujours propre mais elle n'attache jamais les boucles du tablier noir ornant ses hanches. Elle possède aussi un ruban de dentelle blanche dans les cheveux, lui aussi est très propre malgré ses conditions de vie. (Vous pouvez rechercher « Lisette – Pocket Mirror » pour plus d'information)
Histoire :
Spoiler:
Liz n'a jamais été la jeune enfant saine d'esprit que ses parents souhaitaient. Elle est née malade, elle est née atteinte de la démence mais malgré cela et au final, sa famille avait un véritable espoir non pas de guérison mais au moins d'une maladie assez peu importante pour que leur fille puisse vivre une vie assez moyenne, normale pour ainsi dire. Elle restait leur fille, leur enfant, leur seul et unique enfant... Il n'est pas compliqué de dire que, en tant que fille unique et issu d'une famille plutôt empreinte de noblesse et riche, Lisette fut gâtée par ses parents. Jamais elle ne manqua de quelque chose, jamais elle n'entendit de mauvaises choses et jamais on ne la considéra comme anormale, elle était seulement un peu « différente » des autres enfants avec qui elle partageait cependant le quotidien en allant à l'école. Elle se démarquait des autres enfants aussi par ses résultats, étrangement excellent. Parfois cependant avait lieu quelques crises où elle hurlait, se montrait violente et disait sans cesse qu'ils la regardaient sans jamais dire qui. Pourtant en dehors de ces événements, tout allait bien. Oui, tout allait bien, Liz se développait à son rythme et elle redoublait d'effort pour garder le même stade que ses compagnons. Sa famille était très heureuse de son développement : elle était malade mais les médecins étaient confiants au fait qu'elle pouvait vivre avec, que si elle apprenait à se gérer tout irait bien, elle ne serait jamais guérie mais cela restait assez bénin. Tout allait bien, tout allait pour le mieux. C'était ce qu'ils pensaient, mais ce ne fut pas le cas pour Lisette lorsqu'elle atteignit ses onze ans. Faible, fébrile, parfois mal dans sa peau à cause de la démence, elle se raccrocha à la main tendue d'une jeune fille de son âge. Elle était si gentille, si avenante, son sourire si chaleureux et elle avait la beauté d'une poupée en porcelaine. Elle possédait tout ce qui pouvait inspirer confiance, et pour ainsi dire, Liz tomba dans le piège. Rapidement ce si joli minois se montra sous le visage d'un véritable démon, d'un monstre dont Liz devint le bouc émissaire, l'amusement, la chose. Humiliation, dégradation, insultes, intimidations et continuelles brimades devinrent son quotidien. Elle était mise au rang de bête de foire, de monstre alors que ses parents avaient toujours voulu lui faire mener une vie normale, peut-être même un peu privilégié. Alors, dans la boue, la crasse, dans le mélange de salive, de larme et de cette bile qui lui sortait des tripes, qui maculaient son si joli visage, Liz eu un dur retour à la réalité. Elle n'était pas normale. Elle n'était pas comme les autres. Elle était différente. Elle n'était qu'un monstre.
Rapidement son état commença à se dégrader, restant cloîtrée dans sa chambre ravagée par ses colères, elle refusait la visite de quiconque, elle se montrait hostile et pendant plus d'une année personne ne put la voir, personne ne put entrer en contact avec la jeune enfant qui chaque jour tombait toujours plus dans la folie. Elle se mit à parler dans le vide, prenant le thé avec des entités inexistantes contre qui elle se mettait quelquefois à hurler en disant qu'elle ne pouvait pas le tuer, qu'il était seulement son prisonnier, que lui aussi il ressemblait à une poupée si splendide, et que ses yeux d'un bleu incroyable ne pouvait pas se ternir à cause de la mort. Puis, quand sonna ses douze années, la porte se rouvrit enfin. Elle s'ouvrit sur une chambre dévastée, où s'accumulaient centaines et centaines de peluches toutes plus réalistes les unes que les autres. Elles semblaient fixer de leurs yeux luisants ces intrus se tenant à la porte d'entrée. Aucun des visiteurs ne put dire si le pire était la vision de cette chambre ou si c'était l'odeur qui s'en dégageait qui fut le plus difficilement endurable : une odeur de sang s'élevait, de mort et l'odeur infect d'un corps non lavé depuis des mois envahissaient leurs narines ; tandis que leurs yeux pouvaient voir, entre les peluches, une masse filiforme se dessinait dans une mare d'un liquide rougeâtre. Mais avant qu'ils n'aient pu définir quoique ce soit, les portes se refermèrent derrière une Lisette sale, pâle, maigre, plate et sans aucune chair grasse qui ne pouvait plus aligner dix mots.
Quelques jours plus tard, Liz fut envoyée, seule, dans une maison de campagne, et la porte de sa chambre ne put jamais être ouverte une nouvelle fois, comme si quelque chose empêchait toute intrusion. Personne ne sut ce que Liz faisait de ses journées, ni comment elle vivait le fait d'être éloignée de tous. Chaque mois des victuailles lui étaient déposées sur le perron, mais elle ne pouvait voir personne, ni ne pouvait s'échapper d'une cage dorée puisque de grandes murailles entouraient la demeure certes spacieuse mais si ennuyante. Liz avait compris que ses parents l'avaient abandonné, mais une part d'elle refusait d'y croire et elle hurlait aux voix d'arrêter de lui dire qu'elle n'était qu'un déchet, que tout était de leur faute à eux et non la sienne. Ses parents allaient venir la chercher.
La délivrance arriva à l'âge de quinze ans, trois après cet internement forcé, mais les visiteurs qu'elle avait tant attendu ne furent pas ceux qu'elle avait espéré. Les hommes pénétrèrent l'étrange demeure où s'activait à diverses tâches des peluches aux yeux luisants et alors qu'ils s'avançaient, inquiets, dans l'entrée, une silhouette se dessina en haut des escaliers : dans ses yeux violets brillaient une lumière de folie, sa longue chevelure sale et terne glissait sur le sol tandis qu'elle les accueillit d'un « papa, maman ! » avant de se rendre compte de l'erreur. Soudainement l'atmosphère changea, dans leurs affaires les peluches s'arrêtèrent brutalement pour se retourner vers les intrus, l'air menaçant. Pourtant, un homme s'approcha des escaliers, Liz en recula, les peluches semblèrent souffler un râle menaçant. Mais nullement impressionné il se mit à monter les marches, son regard rivé sur elle dégageait à lui seul une impressionnante pression, une certaine force à laquelle se plier était évident, mais à laquelle se rebeller était inconcevable. Quand il atteignit la dernière marche, Liz s'était écroulée contre le mur, ramenant ses jambes contre elle dans un mouvement de peur, mais alors qu'il s'accroupissait, l'air satisfait, il lui présenta un écrin qu'elle ne pouvait bien discerner à cause de la demeure sombre, à l'aspect lugubre et aux toiles d'araignées aussi grande qu'elle tenant en leur centre des petites araignées étranges : des peluches elles-aussi. Elle planta son regard sur le sien, qu'elle n'arrivait, malgré la promiscuité, pas à discerner non plus, et elle se laissa faire lorsqu'il agrippa le haut de sa robe, la partie noire, pour venir y insérer la pointe d'une broche. Alors qu'il s'écartait pour la laisser découvrir ce nouveau bijou, Liz apprécia tout de suite cet homme, comme elle apprécia immédiatement la belle améthyste ornant désormais son cou.
Ils restèrent quelques jours, redonnant à la bâtisse son charme des premiers jours, apprenant à connaître Liz qui fut rapidement acceptée comme une petite sœur. Et depuis longtemps, elle se sentit apaisée, mêmes les voix s'accordaient à dire qu'il fallait rester avec eux. Ce fut sa première rencontre avec la secte et par la suite jamais elle ne fut trahie, ni eux la sensation qu'ils se servaient d'elle. C'était sa famille. Sa nouvelle famille. Celle qui ne l'abandonnerait pas. Quand elle eut le souhait de retourner voir sa famille de sang, elle ne découvrit qu'un pauvre terrain vague de leur ancienne maison et nulle trace de sa famille. Quand elle retourna en campagne, l'homme qu'elle affectionnait tant lui appris la triste nouvelle : le roi avait éradiqué les Réguélia, et seul restait dans les archives un sceau pâle, presque effacé : celui d'une tête de cerf albinos aux yeux rougeoyant. Liz confectionna ce cerf dans un instant de lucidité, ou peut-être de folie puisqu'elle affirmait faire partir de cette famille que le roi avait fait éliminer. Mais après tout, n'est-ce pas ce qu'elle était ? N'était-ce pas le monstre du cirque ? La bête ? La différente ?
Hobbies : Découper des choses, étonnamment fabriquer des peluches et les conserver. Liens Familiaux : La famille Réguélia avait une place importante sous Vulcain mais ils ont disparu sous Vassilias Liens Amicaux/Amoureux : / Lieu de vie: Dans une chambre, aux murs chocolats, au sol de parquet. On y trouve une commode et une armoire en chêne, une petite table basse avec une dînette et avec quatre minuscules chaises de plastiques sur un tapis rougeoyant. Un grand lit à baldaquin s'impose dans la pièce, muni de quelques voiles roses et d'une quantité astronomique de coussin, elle possède aussi un bureau sur lequel se trouve un nécessaire de couture et des tissus en vracs. C'est tout ce que l'on peut trouver dans les meubles, mais partout où l'on pose le regard, des tonnes et des tonnes de peluches vous regardent. Il y en a de toutes sortes et elles semblent toutes animées d'un étrange souffle.
Cavalier Dragon/Cavalier simple / Statut au sein de l'Armée/Titre : / Points de vie : 85 Pv Explication des Malus : • Lisette gagne un malus de 15 points à cause de son état de santé mental. Autres : Liz a toujours dans ses bras une peluche d'un cerf albinos de trente centimètres de long et une quinzaine de large, cette peluche fait d'un tissu plutôt fluide est étonnamment réaliste, ce qui est déjà en soit dérangeant, sachant de plus qu'elle peut tenir debout sur ses quatre pattes alors que son matériau fluide de le permet pas. Mais le plus dérangeant ce sont les deux billes qui ornent les yeux de la peluche, d'un bleu marin incroyable mais qui dégage une légère odeur désagréable. Selon la rumeur ce sont les yeux de son dragon.
▬ Ikari ▬
Comment avez-vous trouvé Le Troisième Dragon ? Sur un ancien site, par sa créatrice Loupwolf, puis ensuite on a décidé d'en faire un forum de rpg Un avis ? Est-ce que l'avis d'un admin peut-être compté comme un avis ? Autre chose ? Nourriture ? Codes :C'EST OKAY (Jacquouille style) par cray
Réguélia Lisette
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