Le Troisième Dragon
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 Orvis

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Bllob
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Bllob


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Feuille de personnage
Points de vie Points de vie:
Inventaire Inventaire: Breuvage de santé (1) ; Extrait de chitine (2) ; Breuvage de santé (4) ; Matrice de restructuration (1) ; Maléfice de Lilith (1) ; Petit sac de gâteaux sucrés (1) ; Sang de succube (1) ; Grenade de fumée (1) ; Acte de naissance falsifié (1) ;Élixir de changelin (1) ; Tonique fortifiant (1) ; Feuille de Gaïa (1) ;Asphodèle (1)

Orvis Empty
MessageSujet: Orvis   Orvis EmptyJeu 28 Mar - 19:45


Dragon
Prénom : Orvis
Âge : 374 
Espèce : Dragon rapace

Pouvoir :  La Pétrification

Orvis est capable de pétrifier les individus, d’une façon bien spécifique et contrôlée : la pierre invoquée par le pouvoir s’agglomère sur tout le corps de l’indiviu, et rentre à l’intérieur de l’organisme par tout orifice existant alors, que ce soit la bouche ou les narines ou une plaie par exemple. Mais c’est avant tout une enveloppe rigide, avant d’être une transformation du corps visé. Le phénomène commence toujours par les pieds ou pattes, et remonte le long du corps jusqu’à la tête. Le pouvoir est applicable à tout être vivant, mais dans le cas d’animaux il est plus compliqué à mettre en œuvre de manière efficace, les animaux pouvant bouger ils sont facilement capables d’extraire leur membre du carcan ou même de le casser. Les petits animaux sont assez faciles à envelopper, mais dès que la taille est conséquente cela devient long, donc difficile, en plus d’être fatiguant. La tâche est donc presque impossible pour Orvis en l’état des choses, son pouvoir n’étant pas des plus développés elle l’utilise surtout pour immobiliser ses proies ou les faire trébucher, sinon pour les alourdir et les ralentir. Avec de l’entraînement elle devrait pouvoir pétrifier depuis n’importe quel membre visé (autre que les pieds), ou accélérer la pétrification, mais pas avec sa maîtrise actuelle.


Caractère :

Orvis est une dragonne adolescente indépendante, qui s’affranchit du mieux qu’elle peut de toute contrainte. Elle est très méfiante envers les autres, cherchant toujours un second sens vicieux à leurs propos, et étant capable de défendre bec et ongles tous ses points de vue. Bien qu’elle aime se sentir supérieure aux autres et que c’est un sentiment dont elle se délecte facilement, ce n’est pas son but. Ce qu’elle recherche le plus est une liberté et une indépendance totales dans sa vie : elle déteste être contrainte par d’autres, l’autorité directe et explicite la débecte et elle la combattra avec une hargne insoupçonnée. Elle n’apprécie pas non plus qu’on essaye de la manipuler en la caressant dans le sens du poil, toute forme de sournoiserie lui déplaît, et n’hésitera pas à répliquer de façon brutale. Ces moments lui donnent les occasions dont elle rêve pour rappeler la place que les gens ont par rapport à elle, et lui conférer un sentiment de supériorité. Pour ce faire elle ne recule devant rien : toutes les méthodes sont bonnes à prendre, tant que c’est elle qui gagne le conflit. Orvis n’accepte pas la défaite.

On pourrait croire que de par son caractère anti-contraintes, Orvis n’a aucune relation un tant soit peu amicale. Cela n’est pas totalement vrai : il est vrai qu’avec les gens qu’elle connaît peu le contact est souvent difficile, et la liaison d’une relation compliquée, en raison de son envie récurrente d’avoir le dessus sur l’autre. Pourtant Orvis sait reconnaître la bienveillance de certains, ainsi que la loyauté. Elle est très méfiante de façon générale, et ne s’ouvre que pour des êtres très particuliers, avec qui elle est certaine d’avoir une confiance réciproque. Ainsi même si elle n’a que très peu de liens avec d’autres, ces liens sont très forts, et Orvis ne les brisera jamais intentionnellement. En revanche, si pour une raison ou une autre l’autre être venait à la trahir, sa confiance se muerait immédiatement en rage et haine : la trahison est quelque chose qu’Orvis honnit encore plus que l’autorité. Elle n’est pas particulièrement rancunière envers ceux qui sont en désaccord avec elle ou ceux qui ne font pas ce qu’elle voudrait d’eux, étant très attachée à sa propre liberté elle peut comprendre que les autres aussi aient envie de faire et penser ce qu’ils veulent. Mais dans le cas de quelqu’un qui essaye de l’embobiner, ou de quelqu’un qui l’a trompée, elle n’a absolument aucune pitié et sera à la limite du harcèlement.

Il n’y a qu’une seule personne en qui Orvis a une confiance complète et absolument inébranlable, au point de lui pardonner une éventuelle trahison – qui n’aura jamais lieu, elle en est absolument certaine : Orphis, sa jumelle. C’est actuellement le seul être vivant avec qui Orvis peut être une dragonne complètement différente : très ouverte et détendue, sans méfiance, très gentille aussi. Orvis pourrait tout faire pour sa sœur, et même ses idéaux de liberté et d’indépendance peuvent plier face à elle. Avec elle on aurait l’impression qu’elle est une dragonne complètement normale et similaire aux autres. Orvis peut changer du tout au tout en sa présence, mais dès que quelqu’un d’autre arrive ou qu’un événement survient elle peut reprendre son état d’esprit habituel en un clin d’œil. Elle a en quasiment toutes circonstances le contrôle d’elle-même, et désapprouve tout ce qui n’est pas « juste » ou « dans l’ordre naturel des choses ». Elle n’aime pas montrer ses faiblesses à qui que ce soit en-dehors de ceux à qui elle fait confiance, et montre ainsi sa carapace dès qu’elle n’est pas dans une situation confortable.


Lorsqu’elle n’est pas dérangée et ne joue pas à avoir plus raison que les autres, Orvis profite de sa liberté pour faire à peu près ce qu’elle veut. Ainsi elle passe beaucoup de temps à se balader un peu partout en volant, profitant de la caresse du vent dans ses plumes, s’arrêtant quelque part pour manger ou boire, ou tout simplement pour contempler la nature autour d’elle. Elle aime être à l’extérieur. Elle aime chasser aussi, un peu pour le plaisir, mais surtout elle aime trouver des proies difficiles pour elle, qui rendront la chasse plus intéressante. C’est sa façon de se prouver qu’elle est forte, et ainsi de renforcer son assurance. Elle se lance souvent des défis, physiques principalement, pour surpasser ses limites.

En-dehors de cela elle se promène parfois dans les villes humaines, qui la fascinent quelque peu par leur architecture et la quantité incroyable de promontoires sur lesquels elle peut s’installer et contrôler tout ce qui se passe autour d’elle, même si elle a du mal à comprendre comment ils puissent s’entasser dans des constructions fermées ainsi et petites de surcroît. Son passif avec les humains n’arrangeant pas – Orvis a à son actif des centaines, même des milliers de morts à son actif, et le compte augmente encore relativement régulièrement – Orvis n’est pas toujours très bien accueillie, car même si elle se tient bien et essaye de ne pas déranger les gens lorsqu’elle est dans les rues, son envie de faire comme elle l’entend gêne souvent, notamment quand elle décolle et atterrit en pleine rue à l’improviste parce qu’elle a envie de se poser à tel endroit et pas à un autre. De là son caractère prend le pas lorsqu’on lui reproche de ne pas faire attention. De même lorsque des gardes lui ordonnent de libérer le passage, Orvis se retient de ne pas les exécuter sur-le-champ, ce qui serait facile pour elle. Sachant faire la part des choses, elle dissocie les humains braconniers du reste de la population humaine, mais l’autorité humaine sur les dragons est quelque chose qu’elle supporte mal.

Orvis est contre toute attente très curieuse, c’est en vérité un trait inné chez elle, ce qui entre assez souvent en contradiction avec l’image de supériorité et de stoïcisme qu’elle essaye de donner aux autres. Et l’on peut parfois assister à des situations très bizarres, où après avoir entendu d’autres parler elle essaye d’en apprendre plus mais sans en donner l’impression, et commence à se lancer dans des questions alambiquées et indirectes pour connaître un détail qui n’a que très peu d’importance et qui provoque la perplexité des interlocuteurs. C’est dans ce genre de situation qu’elle est facilement prise en défaut, auquel cas elle répliquera sur la défensive ou alors partira sans dire mot et en se reprochant intérieurement son comportement.


Physique : https://vignette.wikia.nocookie.net/rwby/images/f/f2/Volume_4_Nevermore.jpg/revision/latest?cb=20161013162526

Orvis, comme sa jumelle Orphis, est une dragonne rapace. Bien que très jeune pour une dragonne, elle a déjà une taille assez conséquente, atteignant bien trois mètres au garrot. Rien que son bec fait le bras d’un homme en longueur, elle pourrait tout à fait en gober un pour un peu qu’il soit à son goût. Le bec est d’un noir profond, légèrement luisant. Il est très dense et solide, constitué d’os uniquement, avec sur l’avant deux petites ouvertures nasales. A sa jonction avec le crâne, quelques très petites plumes le parsèment.

Le crâne est lui aussi noir, tout comme l’ensemble du corps. Les plumes dessus sont un peu plus grandes et nombreuses, assez douces, et orientées vers l’arrière. Les orbites ne sont pas particulièrement rentrées ou sorties du crâne, les yeux ont une ouverture normale. Ils ont un fort éclat, l’iris étant large et dans des tons rouge très vifs, avec une pupille d’un orange tout aussi éclatant. En se déplaçant suffisamment rapidement, Orvis peut donner l’impression à quelqu’un la fixant que ses yeux laissent une traînée rouge dans son sillage. Orvis a aussi un genre de tatouage tout aussi rouge que son iris, sur le haut du crâne, légèrement en arrière des yeux : un cercle avec un point en son centre, plus deux traînées symétriques, l’ensemble formant comme un œil, avec son coin placé pile entre les deux yeux d’Orvis et l’autre traînée s’étirant vers l’arrière du crâne.

Ce tatouage ne se voit quasiment jamais, car la dragonne porte un masque sur son crâne : d’un blanc cassé, il va de la base du bec à bien en arrière du crâne, terminant en une pointe droite qui s’affine en s’élevant au-dessus du cou. Le masque recouvre les yeux d’Orvis avec des cavités prévues à cet effet, mais sur les flancs est aussi dessinée une seconde paire d’yeux, copie conforme des yeux d’Orvis, ajoutant ainsi un effet intimidant à la dragonne. Quelques marques rouges sont aussi dessinées autour du véritable œil d’Orvis, ainsi qu’entre les deux yeux et sur le masque, pour ajouter à l’intimidation, bien que ces marques semblent dessiner comme des sourcils autour des yeux, et pourraient presque passer comme du maquillage et une forme de coquetterie – du moins, pour une humaine. Orvis porte ce masque afin de repousser naturellement les êtres facilement intimidés, et pour ajouter à son pouvoir. Cela lui permet de conforter son image « intouchable », tout en lui procurant un avantage au cas où un combat survient : la double paire d’yeux, en plus d’intimider, sème le doute quand à où Orvis regarde et peut ainsi empêcher l’adversaire de prévoir ses mouvements.

Le cou s’élargit pour former le corps principal, avec la cage thoracique, dont on peut apercevoir quelques vertèbres si l’on est tout proche (ce qui n’arrivera jamais pour une énorme majorité de personnes) et très attentif. Ici les plumes prennent leur longueur moyenne, et sont relativement nombreuses, très près du corps. Le « poitrail » est lui plus garni, notamment par un certain nombre de plumes qui ne vont pas le long du corps mais s’adossent les unes aux autres pour partir droit vers le sol. Les plumes sont très longilignes, droites comme des petites lames, avec des entailles minuscules sur les pointes. Au dos, les plumes sont nombreuses, et partent dans la même direction que la finition effilée de l’arrière du masques ; elles donnent l’impression qu’Orvis a une carapace dorsale constituée de plaques successives placées les unes à côté des autres et inclinées vers l’arrière. Cet effet devient moins présent à mesure qu’on s’approche de la jointure des ailes.

Celles-ci sont très grandes, atteignant facilement six mètres d’envergure sans même être complètement étirées. Une première articulation est en arrière de la cage thoracique, l’os partant très légèrement vers l’arrière et couvrant un premier tiers de l’aile, puis une seconde articulation marque le départ d’un autre os vers l’avant cette fois, couvrant un second tiers de l’envergure. Au bout de l’os se trouve ce qui seraient un pouce et un index chez les humains ; ces deux griffes sont blanches et contrastent avec le reste de l’aile. Ils sont orientés vers l’extérieur de l’aile, et reliés entre eux par de fines mais solides liaisons. De cette « main » partent trois autres phalanges, une prolongeant l’aile pour dresser le dernier tiers tandis que les deux suivantes partent en arrière pour structurer la membrane courant entre tous les os pour former l’aile à proprement parler. Cette membrane regroupe la majorité des plumes d’Orvis, qui sont ici très longues, grandes mais aussi assez drues, au-dessus comme en-dessous de la membrane, lui permettant de voler à sa guise. Bien qu’elles puissent avoir l’air en mauvais état de par la présence de nombreuses coupures dans les plumes, il n’en est rien, et Orvis en prend grand soin, consciente que ses plumes sont la manifestation la plus forte de sa liberté et que sans elles il lui est presque impossible de voler. Il lui arrive ainsi de passer plusieurs heures par jour pour les inspecter, et pour retirer avec son bec toute plume qui s’avérerait gênante.

En comparaison, les pattes arrières d’Orvis sont presque complètement dénuées de plumes : on n’y voit que du muscle. Elles sont très puissantes, décomposées en une cuisse épaisse formée autour du tibia, descendant vers l’avant avant d’arriver au genou, glabre lui aussi, puis descendant vers l’arrière cette fois, avec quelques plumes situées sur l’arrière de la patte. A ce moment les muscles laissent la place à une patte similaire à celle d’un corbeau, se terminant en revenant vers l’avant avec quatre doigts comportant des griffes crochues. Trois doigts sont disposés vers l’avant en éventail, tandis que le quatrième est à l’arrière de la patte et est tourné vers l’arrière, recourbé dans l’autre sens par rapport aux autres doigts, permettant ainsi d’accrocher fermement une branche – ou une proie.

Finalement, la queue très longue – près de la moitié de la longueur totale d’Orvis ! - donne l’impression qu’elle porte une traîne : les plumes sont très longues, partant du même endroit que les cuisses, et formant un éventail resserré dans son sillage. Il y a deux niveaux de plumes, un premier au-dessus s’arrêtant assez vite – à mi-hauteur de la longueur totale de la queue – puis un second juste en-dessous continuant bien plus loin, et faisant un éventail plus large, avec quelques trous entre les plumes.


Habituellement, en présence d’autres Orvis se tient assez droite, le crâne haut, la pointe du masque dressée en l’air. Elle arbore un air plutôt vif, assez sévère et froid, quelque peu méthodique ; ses ailes sont repliées de chaque côté de sa cage thoracique, et sa queue est légèrement relevée, ne dépassant pas l’horizontale mais étant suffisamment haute pour ne pas toucher le sol. Sa démarche est mesurée, presque contrôlée. Mais lorsqu’elle est seule en pleine nature, sa démarche est plus naturelle, et plus oblique : la tête est toujours le point le plus haut du corps, mais elle est bien plus proche du sol, le profil d’Orvis est alors nettement plus allongé qu’il n’est haut.


Histoire :
Spoiler:

Hobbies :  Satisfaire sa curiosité, chasser, se tenir sur un promontoire pendant des heures, traquer des braconniers. Remettre les autres à leur place
Liens Familiaux :  Orvis, sa sœur jumelle
Liens Amicaux/Amoureux :  
Lieu de vie:  Nomade, de préférence en extérieur. Réside parfois chez Layos quand Orphis est là
Points de vie : 250
Explication des bonus : +20 pour le train de vie général, +30 pour les nombreux combats face aux braconniers
Autres : Orvis aime sa sœur et la suivra jusqu’au bout. Elle hait toute forme de braconnage et traquera tout adepte de la pratique.

▬ Bllob ▬

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